. . J’avais repéré « Épilogue Meurtrier » de Petros Markaris, car ce n’est pas souvent que l’on croise la route d’un policier grec, mais c’est surtout les reproches de ma philhellène de mère (« tu n’as jamais[…]
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. . J’avais repéré « Épilogue Meurtrier » de Petros Markaris, car ce n’est pas souvent que l’on croise la route d’un policier grec, mais c’est surtout les reproches de ma philhellène de mère (« tu n’as jamais[…]