Après « L’eau rouge », « La femme du deuxième étage » et « Mater Dolorosa », il était temps de découvrir le recueil de nouvelles de Jurica Pavičić, « Le collectionneur de serpents ».[…]
Étiquette : communisme
L’été où mon père est mort – Yudit Kiss
Dans « L’été où mon père est mort » de Yudit Kiss, la narratrice évoque (comme le titre l’indique !), la mort de son père, intellectuel hongrois et fervent communiste, après une récidive de tumeur au cerveau.[…]
L’arrière saison des lucioles – Henri Raczymow
Auteur prolifique, Henri Raczymow prend le prétexte d’une déambulation parisienne pour nous faire part dans « L’arrière-saison des lucioles » de réflexions et d’anecdotes, avec un certain franc-parler et un humour qui n’est jamais loin, malgré les[…]
Ainsi Berlin – Laurent Petitmangin
Après avoir beaucoup apprécié « Ce qu’il faut de nuit » de Laurent Petitmangin, j’avais très envie de lire son nouveau roman, « Ainsi Berlin ». Le livre nous entraîne à Berlin Est, juste après la Seconde Guerre Mondiale.[…]
Tea Rooms – Luisa Carnes
« Tea Rooms » de Luisa Carnes est un roman espagnol paru en 1934. Matilde, une jeune femme de vingt ans, cherche désespérément du travail en tant que dactylo, sa famille étant dans une situation économique difficile,[…]
Affaires Personnelles – Agata Tuszynska
« Affaires Personnelles » d’Agata Tuszynska est un document que j’ai découvert grâce à un VLEEL en compagnie de l’autrice et de son éditeur à L’Antilope. Le sujet de ce livre est la vague de départs qui[…]
Le Train des Enfants – Viola Ardone
« Le Train des Enfants » de Viola Ardone nous entraîne à Naples en 1946. Amerigo est un petit garçon malicieux et passionné par les chaussures qui vit dans le dénuement : sa mère, Antonietta, qui est[…]
Trois jours à Berlin – Christine de Mazières
« Trois jours à Berlin » de Christine de Mazières est un premier roman que j’ai repéré le mois dernier chez Electra, et je me suis aperçue que l’auteure était versaillaise et qu’elle était à la table à[…]
Ceux qu’on aime – Victoria Hislop
Il y a quelques semaines, j’ai eu le plaisir de rencontrer Victoria Hislop à l’Hôtel Grand Amour, rue de la Fidélité et de discuter avec l’auteure polyglotte (en plus de l’anglais, elle parle parfaitement français[…]