C’est avec « Il est des hommes qui se perdront toujours », dernier roman de Rebecca Lighieri que je découvre cette autrice, dont je n’ai pas non plus lu les livres écrits sous le nom d’Emmanuelle Bayamack-Tam.[…]
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C’est avec « Il est des hommes qui se perdront toujours », dernier roman de Rebecca Lighieri que je découvre cette autrice, dont je n’ai pas non plus lu les livres écrits sous le nom d’Emmanuelle Bayamack-Tam.[…]