De Tatiana de Rosnay, je connaissais « Elle s’appelait Sarah », « Rose » et « Boomerang », qui n’avaient pas été des coups de cœur, mais que j’avais néanmoins lus avec plaisir.
En fait, tout le roman se passe dans un palace italien où Nicolas passe des vacances en compagnie d’une petite amie dont il n’est pas amoureux. Il est devenu un auteur mondialement connu après la parution de son premier et seul roman, inspiré de la quête de ses origines. Le côté intéressant du récit-son enquête, l’intrigue sur le passé mystérieux du père-n’est en fait qu’une infime partie du livre, sous forme de flash-back, lorsque Nicolas, qui fait semblant de s’atteler à son second roman, se remémore ses recherches, entre une pensée pour son ex-compagne qu’il aime encore et un sexto à une Allemande rencontrée dans un salon du livre.Nicolas est un personnage plutôt creux et superficiel, auquel je n’ai pas réussi à m’attacher, son quotidien au palace est morne et ennuyeux, et surtout j’ai eu l’impression d’être trompée en lisant un livre dont l’intrigue-même n’avait finalement pas grand chose à voir avec ce qui était mis en avant au sujet de ce roman. Même la partie « enquête » qui m’avait alléchée ne m’a pas vraiment convaincue, vite expédiée et mal aboutie. « A l’Encre Russe », que je me réjouissais de lire, m’a finalement beaucoup déçue.
oui, il a été assez mal accueilli sur les blogs de cerner opus…
ce DERNIER (je hais mon nouveau clavier)
c'est le T9 qui te joue des tours?
vraiment une très grosse déception, il n'est pas du tout au niveau de ses autres livres, dommage il y avait de quoi faire avec un tel sujet, mais j'ai l'impression qu'elle est passée complètement à côté de son livre…
N'ayant pas aimé Rose, le seul roman que j'avais lu de l'auteure, je n'en attendais rien et j'ai plutôt aimé. Ces réflexions sur les mondanités qui tuent la créativité m'ont plu.
je l'ai trouvé bien creux ce Nicolas…
ps qui n'a rien à voir: j'ai quasi fini Adèle et Moi 🙂