Le Sang des Bêtes – Thomas Gunzig
Repéré depuis longtemps, mais jamais encore lu ! Il a fallu attendre 2022 pour que je lise l’auteur belge Thomas Gunzig, avec son dernier roman « Le Sang des Bêtes ». Tom, sorte de double fictionnel de[…]
Repéré depuis longtemps, mais jamais encore lu ! Il a fallu attendre 2022 pour que je lise l’auteur belge Thomas Gunzig, avec son dernier roman « Le Sang des Bêtes ». Tom, sorte de double fictionnel de[…]
Je connaissais bien sûr Nicolas Rey de nom, mais je n’avais jamais vraiment eu envie de le lire…j’avais un a priori négatif, imaginant provocation gratuite et superficialité, et c’est sur l’insistance de mes camarades de[…]
Après le bilan du 1er Trimestre , je vous propose la rétrospective de T2 2020, vue sous l’angle littéraire ! Et quel trimestre particulier : confinement, télé-travail, pas de vacances, pas d’événements ou de sorties… par conséquent,[…]
Comme chaque année en Juin, je participe au Mois Anglais, organisé par Martine et Lou, en lisant des romans anglais ou se passant en Angleterre…les années précédentes, ma participation était plutôt active (l’an dernier, j’ai[…]
Lundi soir, j’ai eu la chance d’être invitée par les éditions Pocket au restaurant Grand Coeur à Paris à la soirée de lancement en poche d’ »Entrez dans la danse » de Jean Teulé, en présence de[…]
Mercredi matin, j’ai eu la chance et la joie d’assister à la présentation de la Rentrée Littéraire de Septembre 2018 des éditions Stock (même si Septembre me semble encore tellement loin!) , qui était organisée[…]
J’ai lu tous les livres de Gillian Flynn, plus connue pour « Les Apparences » (ou »Gone Girl » en VO) mais dont mon roman préféré est « Les Lieux Sombres », et j’étais donc ravie d’apprendre que Sonatine publiait un[…]
J’avais lu en 2014 un roman choral bien glauque et devenu culte : « Le Diable, tout le temps » de Donald Ray Pollock – un livre noir et poisseux porté par un joli talent d’écriture.[…]
. . Voilà un premier roman qui a beaucoup fait parler de lui – en bien! – lors de cette rentrée littéraire. « En attendant Bojangles » d’Olivier Bourdeaut cache derrière sa couverture graphique une histoire sensible[…]